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PAROLES, PAROLES, PAROLES – Score: 6/10

english version below

Après mon escapade londonienne, direction Paris où une autre institution m’attend de pied ferme.

Perdu dans une ruelle du quartier Strasbourg-St Denis, autrefois célèbre pour ses lieux de perditions, c’est un autre vice ô combien plus onéreux mais bien plus agréable et hygiénique qui m’attend.

Ici ce cache, dans les tréfonds de Paris, l’antre du plaisir pour tout amoureux du malt. Le Golden Promise, du nom de cette variété d’orge typique de notre terre écossaise chérie, nous reçoit dans un caveau aménagé pour le plaisir des esthètes de l’eau de vie calédonienne.

Plus de 800 bouteilles de prestiges nous attendant pour un moment inoubliable. Il y a tout de même un gros soucis : on ne sait que choisir !

Mon dévolu se jettera sur ce Glendronach 1963 de 12 ans d’âge que je possède dans ma collection et qu’il m’est donné de tester.

Malheureusement, le plaisir ne sera pas au rendez-vous. C’est un whisky plutôt fade qui parcoure mes papilles. Les notes d’agrumes viendront furtivement se manifester accompagnées de céréales mielleuses. L’alcool n’étant pas des mieux intégrés, une belle dose de poivre blanc me percutera la glotte.

C’est moyen comme sensation et le prix payé est plus en rapport avec le côté collector que sa qualité intrinsèque.

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PROMISES, ONLY PROMISES – Score: 6/10

After my London escapade, let’s go to Paris where another institution awaits me firmly.

Lost in an alley of the Strasbourg-St Denis district, once famous for its places of perdition, it is another vice, oh so much more expensive but much more pleasant and hygienic that awaits me.

Here is hidden, in the depths of Paris, the den of pleasure for all lovers of malt. The Golden Promise, named after this variety of barley typical of our beloved Scottish land, welcomes us to a cellar fitted out for the pleasure of aesthetes of Caledonian spirit.

More than 800 prestigious bottles awaiting us for an unforgettable moment. There is still a big issue: we don’t know what to choose!

My sights will be on this 12-year-old Glendronach 1963 that I have in my collection and that I have been given the opportunity to test.

Unfortunately, the pleasure will not be there. It’s a rather bland whisky that runs through my taste buds. Citrus notes will come stealthily to manifest themselves accompanied by honeyed cereals. The alcohol is not the best integrated, a strong dose of white pepper will hit my glottis.

It’s average as a sensation and the price paid is more related to the collector’s side than its intrinsic quality.