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Braeval 1998 13 years – casks #168871 #168872

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TOUT DOUX MAIS C’EST TOUT – Score: 6,5/10

C’est les vacances au pied des Alpes suisses, à mi-chemin entre le lac et les vignes. Sur la route, un petit arrêt à Bâle et son célèbre hôtel Les Trois Rois ayant vu passé, entre autres, Napoléon… et moi 🙂

Le bar de l’hôtel est splendide mais mon œil perverti par le le malt y décèle rapidement des bouteilles attractives derrière le comptoir.

Des “Blackadder”, des “Signatory Vintage”…. cela change du traditionnel Talisker, Dalwhinnie, Caol Ila, Laga des bars d’hôtels

Allez, on se lance pour la dégustation de ce Braes of Glenlivet (raccourci en Braeval pour le marketing) de 1998 vieilli 13 ans en fût de bourbon.

Un nez chimique m’attend, laissant rapidement place à une douce odeur de cacahuètes grillées. Intéressant et atypique.

Au palais, la note mentholée de l’alcool (on titre tout de même à 56,7%) s’évapore rapidement pour laisser place aux saveurs de fruits secs se confirmant, une légère pointe de miel lui procurant une douceur exceptionnelle. Et puis …. c’est tout… La finale est inexistante, la douceur s’évanouit comme un filet d’eau entre les dents. On perçoit vaguement une note vanillée mais je me demande si ce n’est pas l’idée du fût de bourbon qui m’oblige à le ressentir.

Dommage, ça s’annonçait bien pourtant.


ALL SWEET AND THAT’S IT – Score: 6.5 / 10

It’s holiday time at the feet of the Swiss Alps, halfway between the lake and the vineyards. On the road, a short stop in Basel and its famous hotel Les Trois Rois having seen between its walls, among others, Napoleon… and me 🙂

The hotel bar is splendid, but my malted eye quickly sees attractive bottles behind the counter.

“Blackadder”, “Signatory Vintage”…. it changes from the traditional Talisker, Dalwhinnie, Caol Ila, Laga of others hotel bars

Come on, let’s go for the tasting of this Braes of Glenlivet (shortened to Braeval for marketing) from 1998 aged 13 years in bourbon casks.

A chemical nose comes to me, quickly giving way to a sweet smell of roasted peanuts. Interesting and atypical.

On the mouth, the minty note of the alcohol (56.7%) evaporates quickly to give way to the confirmed dried fruit flavors, a slight hint of honey giving it exceptional sweetness. And then …. that’s all … The finish is nonexistent, the sweetness fades like a trickle of water between your teeth. There is a vague hint of vanilla, but I wonder if it’s not the idea of ​​the bourbon cask that makes me feel it.

Too bad, it was shaping up well though.

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