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Clynelish 12 years

UN PETIT DEJEUNER PIMENTE – Score: 7/10

english version below

Poursuite de ma soirée de perdition à Paris avec un vieux Clynelish 12 ans d’âge des années soixante.

Celle que l’on appelle désormais Brora portait à l’origine le nom “Clynelish” qui est à présent le nom d’une distillerie fondée sur les ruines de la précédente mais dont le style est totalement différent.

Curieux donc de goûter cette ancienne version sortie des cryptes de la Maison du Whisky. Une bonne occasion également de comprendre cet engouement pour la maison Brora et les prix délirants qui sont pratiqués.

Dès les premières gouttes en bouche, on comprend que le travail est bien fait en terme de distillation. La texture est huileuse, onctueuse et enveloppante. Une douce chaleur monte lentement sur les joues et la langue.

Les notes céréalières se pointent et envahissent le palais avec une note cireuse. Jusqu’ici, c’est d’un haut niveau.

Seulement, la chaleur éthylique poursuit sa montée et des notes mentholées se révèlent de plus en plus anésthésiant petit à petit la bouche et les papilles gustatives.

On fini sur des notes de piment antillais tellement l’alcool nous brûle le palais ce qui anéanti la possibilité de boire une seconde dose dans la foulée. La présence du verre à eau est heureuse pour réduire le brulant et nous permettre de poursuivre la dégustation.


A SPICY BREAKFAST – Score: 7/10

Continuation of my depraved evening in Paris with a 12-year-old Clynelish from the sixties.

The one now called Brora originally bore the name “Clynelish” which is now the name of a distillery founded on the ruins of the previous one but whose style is totally different.

So curious to taste this old version from the crypts of the Maison du Whisky. A good opportunity also to understand this craze for the Brora house and the crazy prices that are charged.

From the first drops in the mouth, we understand that the work is well done in terms of distillation. The texture is oily, unctuous and enveloping. A soft warmth rises slowly on the cheeks and the tongue.

The cereal notes emerge and invade the palate with a waxy note. So far it’s been on a high level.

Nevertheless, the ethyl heat continues to rise and menthol notes are revealed more and more anesthetizing little by little the mouth and the taste buds.

We finish on notes of West Indian pepper as the alcohol burns our palate which destroys the possibility of drinking a second dose in stride. The presence of the water glass is fortunate to reduce the burning and allow us to continue the tasting.

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