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LA BOUCHE DANS UN POT DE MIEL – Score: 6/10
Pour ceux qui me lisent régulièrement, vous savez que je suis un anticonformiste et suis rarement les effets de mode. C’est également le cas pour l’embouteilleur Michel Couvreur qui, comme son concurrent Compass Box, s’est spécialisé dans le blending de malt.
Déjà que je consomme rarement des blends, je n’ai donc pas vocation à acheter des bouteilles Michel Couvreur malgré tout le bien que l’on dit sur ces embouteillages.
C’est donc, vous l’aurez compris, par opportunisme que j’ai pu goûter à sa production. Dans un restaurant bruxellois nommé La Sanza (que je recommande vivement pour les amateurs de cuisine italienne) que j’ai pu découvrir ce breuvage. C’est la version Overaged de Michel Couvreur qui se trouvait à la carte du bar.
Un whisky léger, rappelant les productions du Lowland ou de Glen Moray. Tout en douceur, gorgé de miel, de tabac humide, de raisins secs. Un poil trop sucré pour moi, j’aime les whiskies plus racé, plus puissant, plus caractériel.
Une finale trop courte et douce-amère clôture cette dégustation mi-figue, mi-raisin du premier Michel Couvreur de ma vie.
MOUTH IN A JAR OF HONEY – Score: 6/10
For those who read me regularly, you know that I am a nonconformist and rarely follow the hype. This is also the case for the bottler Michel Couvreur that, like its competitor Compass Box, specializes in malt blending.
I rarely consume blends, so I am not going to buy Michel Couvreur bottles despite all the good people say about these bottlings.
It is therefore, you will understand, by opportunism that I was able to taste its production. In a Brussels restaurant called La Sanza (which I highly recommend for lovers of Italian cuisine) that I was able to discover this beverage. This is the Overaged version of Michel Couvreur that was on the bar menu.
A light whisky, reminiscent of the productions of Lowland or Glen Moray. Very smooth, full of honey, damp tobacco, raisins. A bit too sweet for me, I like more racy, more powerful, more temperamental whiskies.
A too short and bittersweet finish ends this neither fish nor fowl tasting of the first Michel Couvreur of my life.
je suppose que c’était la version de base à 43°!
En effet